Joan, apprenti : « Ce qui rend la filière par l’apprentissage MT encore meilleure est le fait de passer la moitié du temps en entreprise. »

Joan a choisi d’intégrer la filière par l’apprentissage Microélectronique et Télécommunications (MT). Il est étudiant en 1re année, sa mission se déroule au Centre Spatial Universitaire de Grenoble (CSUG), où il travaille sur l’électronique d’un nano-satellite.

Quel a été votre parcours avant d’intégrer Phelma ?

Avant d’intégrer Phelma, j'ai fait une année de Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (CPGE) au lycée Stanislas de Cannes. Puis je me suis orienté vers un DUT, spécialité Génie Electrique et Informatique Industrielle (GEII) à Nice en formation classique.
 

Pourquoi avez-vous choisi de devenir ingénieur par la voie de l'apprentissage ?

Alterner périodes de cours et périodes en entreprise est un rythme qui me correspond vraiment. Du coup, j’ai été très motivé pour être étudiant à Phelma lorsque j’ai appris que je pouvais intégrer une école d'ingénieurs par la voie de l'apprentissage.
 

Pouvez-vous résumer les objectifs de votre mission en entreprise et quels sont les liens avec la filière MT ?

Ma mission se déroule au Centre Spatial Universitaire de Grenoble (CSUG). Je suis chargé de travailler sur l’électronique d'un nano-satellite en collaboration avec d'autres étudiants et différents ingénieurs. Il y a un grand lien avec la filière MT puisqu’en plus de designer des systèmes pour le satellite, je programme aussi les différents composants utilisés.
 

Quel est votre ressenti sur votre cursus depuis votre arrivée à l'école ?

Pour le moment, je trouve que ce cursus est complet. Nous avons beaucoup de travaux pratiques qui sont très intéressants. Par exemple, j’ai beaucoup aimé passer deux jours en salle blanche à faire un wafer qu'on a ensuite caractérisé.
 
Ce qui selon moi, rend cette formation encore meilleure est le fait de passer la moitié du temps en entreprise. On change d’environnement et on apprend également beaucoup de choses.