Menée dans le cadre du projet AMHY, l’étude dresse un état des lieux inédit des attentes des entreprises et ouvre la voie à de nouvelles collaborations avec le monde académique.
Dans le cadre du projet AMHY, une enquête approfondie a été conduite auprès d’entreprises de la filière hydrogène afin de mieux comprendre leurs besoins en compétences et en formations. Cette démarche visait à évaluer la visibilité des formations existantes, leur adéquation avec les attentes du secteur, ainsi que les pistes de collaboration possibles entre industriels et établissements d’enseignement.
L’étude répondait à quatre objectifs majeurs : mesurer la visibilité des formations initiales et continues en hydrogène, analyser leur pertinence au regard des besoins actuels, identifier les compétences les plus attendues par les acteurs industriels et explorer les opportunités de partenariat avec les établissements académiques.
Les résultats mettent en lumière une forte dynamique de recrutement, largement liée à la transformation des métiers existants et à l’essor rapide de la filière. Les industriels signalent néanmoins des difficultés persistantes : rareté des profils adaptés, attractivité insuffisante de certains postes ou encore coût élevé des experts expérimentés. Les attentes en matière de formation apparaissent très diverses, allant d’une approche généraliste pour mieux comprendre la chaîne de valeur de l’hydrogène à des besoins d’expertise pointue sur des segments techniques spécifiques.
L’enquête souligne également la nécessité d’une meilleure visibilité des formations universitaires et d’une coopération renforcée avec l’Université Grenoble Alpes (UGA) afin de faciliter l’orientation des étudiants vers les besoins des entreprises.
Dans le cadre du projet AMHY, une enquête approfondie a été conduite auprès d’entreprises de la filière hydrogène afin de mieux comprendre leurs besoins en compétences et en formations. Cette démarche visait à évaluer la visibilité des formations existantes, leur adéquation avec les attentes du secteur, ainsi que les pistes de collaboration possibles entre industriels et établissements d’enseignement.
L’étude répondait à quatre objectifs majeurs : mesurer la visibilité des formations initiales et continues en hydrogène, analyser leur pertinence au regard des besoins actuels, identifier les compétences les plus attendues par les acteurs industriels et explorer les opportunités de partenariat avec les établissements académiques.
Les résultats mettent en lumière une forte dynamique de recrutement, largement liée à la transformation des métiers existants et à l’essor rapide de la filière. Les industriels signalent néanmoins des difficultés persistantes : rareté des profils adaptés, attractivité insuffisante de certains postes ou encore coût élevé des experts expérimentés. Les attentes en matière de formation apparaissent très diverses, allant d’une approche généraliste pour mieux comprendre la chaîne de valeur de l’hydrogène à des besoins d’expertise pointue sur des segments techniques spécifiques.
L’enquête souligne également la nécessité d’une meilleure visibilité des formations universitaires et d’une coopération renforcée avec l’Université Grenoble Alpes (UGA) afin de faciliter l’orientation des étudiants vers les besoins des entreprises.